Powerledger s’appuie sur la nature P2P de la blockchain sous-jacente pour faciliter le transfert de tokens d’énergie, le trading de ressources environnementales et la possession d’actifs renouvelables, le tout avec un minimum de friction et d’intermédiaires. Avec Powerledger, les utilisateurs peuvent acheter et vendre en temps réel leur capacité électrique excédentaire produite par des panneaux solaires. En contrepartie, ils reçoivent des tokens POWR natifs.
Parmi les trois principaux projets de Powerledger, citons VPP 2.0, qui concerne la vente d’électricité excédentaire stockée dans des batteries, xGrid, dont l’énergie provient de panneaux solaires et uGrid, un marché dédié à la capacité excédentaire d’énergie solaire des bâtiments commerciaux.
Outre le trading de l’énergie excédentaire des consommateurs, Powerledger permet de trader des ressources environnementales, rendant ainsi l’échange de matières premières et de certificats d’énergie renouvelable (Renewable Energy Credit, ou REC) plus transparent et mieux traçable. Pour de tels échanges, Powerledger dispose de deux marchés : C6 et C6+.
Powerledger a également développé un cadre de propriété d’actifs renouvelables. Les ménages sont incités à faire l’acquisition de sources d’énergie renouvelables, même s’il ne s’agit que d’une possession en copropriété, et à obtenir des récompenses en fonction de leur production d’énergie verte. Powerledger mène actuellement des projets aux États-Unis, en Thaïlande, au Japon, en Autriche et dans d’autres pays. Ces projets visent à tester et à intégrer sa plateforme aux infrastructures d’énergie renouvelable existantes.
L’offre de tokens POWR est limitée à 1 milliard , 350 millions de tokens POWR ayant été vendus au public au troisième trimestre 2017.